Représentation des vestiges du pont Eudes débuté en 1034/1037 et démoli à partir de 1784/1785. Au XIXe siècle quelques arches restent néanmoins visibles. En fond une vue de la cathédrale Saint-Gatien et du château de Tours (caserne de Guise)
La photographie correspond à une description fournie par le médecin en chef du dépôt de prisonniers en 1918-1919.
La caserne, achevée en 1913, a dû être réaménagée camp dès le début de la guerre 1914-1918 : 25 baraques peintes en blanc sont disposées à intervalles réguliers, dont 20 [...]
Le médecin en chef du dépôt de prisonniers en 1918-1919 indique que l’eau des lavages est fournie par trois puits situés à l’intérieur du camp. Pourtant ici, des prisonniers allemands sont occupés à faire leur lessive dans un lavoir, au bord d’une petite étendue d’eau dont les berge[...]
Quatre soldats posent devant un accès au camp, défendu par une palissade. Une guérite abrite le garde d’entrée. Des baraquements en bois ainsi que trois bâtiments anciens sont visibles. Sur la droite, on distingue un fronton classique ; il s’agit probablement d’un bâtiment édifié au 19[...]
L’entrée, aujourd’hui murée, est en pierre de taille de tuffeau avec un linteau en bois. Elle pourrait être attribuée à la période de l’abbaye, qui compte un ou deux portails dans son mur d’enclos sud.
En 1836, le concours pour la construction du palais de justice, de la caserne de gendarmerie et de la prison le long du boulevard Béranger est remporté par Jean Bernard Toussaint Jacquemin et son fils Jean Charles Jacquemin. L’édification commence en 1840 et s’achève trois ans plus tard ; En[...]